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Le domaine de la voyance est un domaine très immense car cela assemble un bon nombre de disciplines. Au fur et à mesure que de nouveaux supports de voyance apparaissent, une nouvelle branche se crée. C’est de cette manière qu’est apparu l’astrologie, la numérologie, la radiesthésie, la cartomancie, et beaucoup d’autres arts divinatoires. Les supports divinatoires donc sont des outils clés de la divination. Les praticiens s’en servent pour affiner leur prédictio

Qu’en est-il de l’oracle? Qu’est ce que c’est?

Un oracle est un jeu de cartes comme les tarots. Ce sont des outils servant à décrypter l’avenir. Le cartomancien est celui qui utilise l’oracle pour prédire l’avenir. A la différence des tarots, les oracles ne contiennent qu’un nombre limité de cartes. Généralement, 53 cartes comme celle de l’oracle de Belline l’oracle de référence des experts divinatoir

D’ou vient l’utilisation des oracles?

Le recours à l’oracle date depuis des lustres, cela a vu le jour dans le temps des païens. A cette époque, les païens voulaient savoir les messages de Dieu. Par ailleurs, selon son étymologie, l’oracle se dérive du mot latin « orare » qui veut dire parler. Par extension l’oracle donne lieu à « oraculum » qui signifie parole de Dieu. On peut déduire donc que l’oracle est traduit les messages de Dieu.

Quel est l’intérêt de recourir à l’oracle?

L’oracle se distingue des autres supports divinatoires par le fait que ce n’est pas un support généralisé. Autrement dit, elle traite une question particulière par exemple l’amour ou les relations amoureuses uniquement. C’est ce qui fait qu’il est celui le plus apprécié et prisé par les médiums et les voyants pour répondre à une question déterminé.

Lorsqu’il y a une question qui nous préoccupe, c’est un oracle qui dispose une réponse précise. Bref, l’oracle est un support de voyance qui se démarque par son exactitude à répondre les interrogations de la vie et à révéler l’avenir. La médiumnité est une faculté de se communiquer avec les esprits. C’est une sensibilité exceptionnelle de pouvoir ressentir les manifestations des esprits.

Le médium est celui qui est douée de cette faculté. Il en a la maîtrise parfaite.

C’est une personne qui est compétente pour faire interconnexion entre le monde des vivants est celui des esprits.

La médiumnité est cette capacité hors norme et c’est pour cela qu’elle touche la curiosité de tout un chacun.

Effectivement, la médiumnité est une question qui attire les passionnés du monde paranormal.

Beaucoup de questions peuvent surgir. Comment peut-on entrer en contact avec un esprit? Est-ce que tout le monde peut faire cela? Comment on acquiert cette faculté?

D’abord, la communication suppose l’entrée d’au moins deux parties, mais dans une médiumnité, cela se fait entre 3 partie: le consultant, le médium et l’esprit demandé.

La séance de médiumnité se déroule comme suit, la personne indique le nom de son proche décédé et le médium active ses sens pour capter les émanations de l’esprit.

Comme l’esprit n’est pas un être qui se ressuscite mais une âme toujours en vie dans l’au delà avec beaucoup d’autres entités invisibles, c’est lui qui va s’approcher du médium.

Pour ce faire, il donne des signaux sonores, visuels ou vibratoires. Le médium les recevra, on dit que le médium est le récepteur.

En recevant les indications de l’esprit, le médium aura pour tâche de traduire et ensuite de transmettre les messages de l’esprit à son destinataire qui est le consultant.

Tout le monde possède une capacité en médiumnité mais en faible quantité, mais c’est uniquement quelques uns qui arrivent à la maîtriser.

Les médiums sont donc des élus c’est à dire que sont considérés comme médium ceux qui ont eu de la facilité à développer ses sens spirituels.

En effet, ce n’est pas tout le monde qui peut intégrer le monde invisible.

La faculté de médiumnité s’acquiert à la naissance. On dit qu’on ne devient pas médium, on naît avec. Les difficultés de communicationVoici quelques exemples de comportement ou de communication passive-agressive : Marta est engagée comme nouvelle vendeuse dans une librairie de quartier. La librairie avait été ouverte moins d’un mois auparavant et deux filles y travaillaient déjà, l’une d’entre elles ayant été nommée directrice du magasin, l’autre vendeuse “normale”. Marta avait été engagée comme troisième. Quelques jours seulement après son embauche, Marta a remarqué que pendant les pauses de travail, elle parlait avec son collègue (le second embauché), ce dernier entre un sourire et l’autre, avec des tons extrêmement calmes et polis, répétait souvent le fait qu’elle (Marta) n’y était qu’une “joviale”, une chose de plus. La situation a dégénéré lorsque, sur décision du patron, Marta s’est vu attribuer un jour de travail supplémentaire dans une succursale située dans une ville voisine. Un jour de travail de plus que le deuxième collègue. Ce dernier, suite à cette décision du patron, est devenu de moins en moins aimable avec Marta et lorsque celle-ci, par nécessité, lui a demandé une faveur, elle a oublié de le faire “euh, désolé, j’ai oublié ! j’étais pressé et j’ai dû m’arrêter à la pharmacie ! quelle bêtise !”. Daniele, après avoir passé le test d’admission à l’école de médecine, a rencontré un ami dans la rue et lui a joyeusement annoncé le résultat du test. Son ami, avec un sourire, dit “ah, belle la faculté de médecine ! vous savez, avec le test des mots croisés, il ne devrait pas être difficile de le réussir !” Sonia, parlant à un ami qu’elle n’avait pas vu depuis quelques mois, lui a dit qu’elle avait trouvé un nouvel emploi de secrétaire dans un cabinet d’avocats. Son amie, avec une expression souriante, lui a répondu “en fait c’est un bon travail, eh bien, d’un autre côté dans la vie on grandit ! Les exemples sont innombrables, mais nous nous sommes tous retrouvés, au moins une fois dans notre vie, à parler avec des personnes passives-agressives. Ce qu’ils nous laissent, c’est beaucoup de confusion et de sentiments négatifs à notre égard. Mais qui sont les personnes passives-agressives ? IDENTITÉ DE LA PERSONNE PASSIVE-AGRESSIVE P comme passif : l’individu agit en masquant et en réprimant ses véritables émotions et intentions. Il est incapable d’exprimer ses pensées. A pour agressif : l’individu agit dans le but de blesser, de rabaisser, de mettre les autres mal à l’aise. Selon le PDM (Psychodynamic Diagnostic Manual), le comportement passif-agressif est typique des personnalités narcissiques et/ou dépendantes. Dans le premier cas, il s’agit d’individus caractérisés par des sentiments de grandeur, de manque d’empathie, d’envie ; dans le second cas, il s’agit de personnes qui craignent fréquemment le jugement des autres, surtout des personnes considérées d’une certaine manière comme faisant autorité et “qui comptent” et sur lesquelles elles sont incapables de diriger la colère qu’elles ressentent pour leur comportement considéré comme incorrect. Même si le comportement passif-agressif est typique des adultes (surtout à partir de 24-25 ans), on peut trouver une analogie dans la toute petite enfance. Melanie Klein, dans son livre “Notes on some schizoid mechanisms” (Lis et al. 1999) écrit en 1946, décrit pour la première fois en profondeur un mécanisme de défense qui est déjà opérationnel dans la toute petite enfance et qui est appelé “identification projective”. Lecture complémentaire : Peur des hauteurs, vertiges et acrophobie : un peu de clarté Selon le chercheur, le nouveau-né, pour se défendre contre l’anxiété, se sépare des parties de lui-même jugées intolérables et les projette sur l’autre (la mère) afin de pouvoir la contrôler. Suite à cette projection, la mère se retrouve à contenir les mauvaises parties de l’enfant et l’enfant continue à la sentir comme une partie de lui-même (le mauvais moi). L’enfant a rejeté ses mauvais côtés sur la mère mais en même temps il s’identifie à elle : cette dynamique relationnelle primordiale est le prototype de tout comportement agressif. En fait, l’angoisse ne disparaît pas, parce que les personnes sur lesquelles les mauvaises parties ont été projetées, deviennent aussi des persécuteurs dans l’esprit de l’enfant, elles deviennent “les méchants”. À l’âge adulte, ce mécanisme relationnel ressemble en quelque sorte à ce que nous appelons communément des “provocations sournoises”. La personne qui projette sur nous son agressivité voilée, suscite en nous deux types de contre-réactions : d’une part la perplexité, le silence et parfois la tristesse, ou bien des réactions de réponse tout aussi colériques et agressives. De cette façon, la personne qui a commencé tout cela, se convainc elle-même (ou essaie de convaincre les autres) qu’elle a été victime de l’autre, en niant toute mauvaise intention de sa part : “Je n’ai rien fait ! quand je parlais, je me tais ! L’auteur est devenu la victime, la victime est devenue l’auteur ! Nous avons tous des moments où nous réagissons avec sarcasme, ou bien nous disons oui alors qu’en fait nous voudrions dire non, mais ce comportement devient problématique et symptomatique lorsqu’il est récurrent, lorsqu’il devient un style de communication visant à contourner toute communication chargée d’émotion. Quelles sont les causes de ce comportement ? En général, les personnes qui ont des relations passives-agressives avec les autres ont grandi dans des familles qui évitent les conflits, comme si les sentiments négatifs tels que la colère et l’agression étaient tabous. De plus, la société dans laquelle nous vivons a toujours délivré le message que la colère n’est pas une émotion saine. Les experts montrent que nos parents, et les adultes en général, nous apprennent dès le plus jeune âge à être condescendants et à ne pas dire des choses qui pourraient soulever des problèmes et des conflits. Personne ne nous apprend que la colère est une émotion comme une autre et que nous pouvons (et même devons) apprendre à la gérer et à en faire une ressource dont on peut tirer parti. Les neuroscientifiques et les experts de voyance pensent que le comportement passif-agressif est le produit de l’interaction entre les gènes et l’environnement. La plupart du temps, les gens deviennent inconsciemment passifs-agressifs parce qu’ils ne se sentent pas vraiment libres d’exprimer ouvertement leur colère. La colère, ainsi que d’autres sentiments négatifs, ne sont pas exprimés afin d’éviter la punition des figures d’autorité (parents, employeurs, etc.). Pour en revenir à l’histoire de Marta, la collègue passive-agressive ne pouvait pas se mettre en colère contre le patron pour la décision prise (le risque était de le mettre en colère ou pire de perdre quelque chose au travail), alors elle déversait toute sa colère sur Marta à travers des phrases ambiguës, des gentillesses manquées, des faveurs oubliées, des allusions, etc. Marta dit qu’en raison de ces attitudes hostiles de la part de son collègue, leur relation n’a jamais vraiment décollé et ils ont même fini par se disputer à quelques reprises. Le collègue passif-agressif, par manque de conscience de soi et par un contrôle de la réalité perturbé, a continué à ne pas aimer Marta longtemps après. Et c’est pa sune histoire d’horoscope ! Le vrai amour pour tous et toutes L’homophobie vient du grec “ομοίoÏ‚” qui signifie “même” et “φοβος” qui signifie “peur”, donc littéralement “peur de la même chose”. L’homophobie est la peur irrationnelle et l’aversion pour l’homosexualité. Elle ne figure dans aucune classification clinique des différentes phobies. Le terme est généralement utilisé dans un sens générique se référant à un comportement discriminatoire et non clinique, puisque le terme phobie perd son sens clinique, lié à un concept de peur, indiquant plutôt une aversion générique, il s’agit en particulier d’une peur d’être considéré comme homosexuel et des situations considérées comme associées à celles-ci. Cette crainte, comme le soutient Erich Fromm dans son travail, est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes, car d’un point de vue culturel, l’homme homosexuel est considéré comme une “mauviette”. Pour cette raison, le garçon se sent marqué et humilié par le groupe. Si une fille est plutôt définie comme un “garçon manqué”, cela ne s’accompagne pas de la même désapprobation, au contraire, cela devient souvent une source de fierté. Ainsi, la “poule mouillée” est un lâche, un fils à sa maman ; tandis que le “garçon manqué” est une fille fière capable de tenir tête à un garçon. Les recherches psychosociales montrent que l’homophobie est principalement liée à des caractéristiques personnelles : vieillesse, faible niveau d’éducation, idées religieuses fondamentalistes, absence de contact personnel avec les gays ou les lesbiennes, autoritarisme, culpabilité sexuelle, attitude traditionaliste à l’égard des rôles de genre tels que la masculinité. Selon le théoricien Calvin Thomas, la terreur d’être considéré comme homosexuel domine les éléments “hétérosexuels normaux” car cette même terreur bloque leur esprit. C’est précisément cette horreur des passions “abjectes” qui est produite et renforcée par la société, qui crée et perpétue la mentalité d’hétéronormativité. L’homophobie implique non seulement la peur de ceux qui sont méprisablement identifiés, mais aussi la peur d’être méprisablement identifié à son tour : la peur, au sens littéral, d’être “égal à”. Cette dernière crainte est une composante beaucoup plus forte de l’homophobie que du sexisme ou du racisme, car l’homme sexiste, ou le blanc raciste, est beaucoup moins “en danger” d’être pris pour une femme ou un “non-blanc”. “L’amour sans limites et sans contraintes est le souffle éternel de l’univers.” L’homophobie intériorisée consiste en l’acceptation par les gays et les lesbiennes de préjugés, d’étiquettes négatives et d’attitudes discriminatoires envers l’homosexualité. Cette intériorisation des préjugés est le plus souvent inconsciente et peut conduire à éprouver des difficultés avec son orientation sexuelle, à s’y opposer, à la nier ou même à nourrir des sentiments discriminatoires à l’égard des homosexuels.

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